Au lieu de culpabiliser, profitez de votre nouveau temps libre (celui pendant lequel vos enfants sont avec leur papa) pour faire tout ce que les mamans mariées rêveraient de faire si elles avaient la chance d’avoir un week-end tout entier à passer sans leurs enfants…
Au début, les premières séparations, même si elles ne durent que 48h, sont vécues comme de véritables déchirures… Alors même si cela vous paraît difficile, prenez de bonnes habitudes dés le départ pour pouvoir vivre vos week-ends « libres » en mode détente, au lieu de les vivre comme des moments de solitude insupportables. Choisissez un sport, une activité ou remettez une vieille passion au goût du jour. Aménagez donc ces temps libres pour vous, sans laisser aucune place à la culpabilité. C’est le moment idéal pour faire du sport, aller chez l’esthéticienne, prendre le thé avec les copines, partir quelque part, pourquoi pas, histoire de se changer les idées… Le temps libre d’une maman est trop précieux pour être gaspillé !
Car lorsque l’on travaille toute la semaine, que l’on doit gérer les courses et les repas de la maisonnée, la sortie des classes, la garde des enfants en dehors des heures d’école… Le temps qui nous reste est quasiment inexistant. Quand les enfants vont dormir, toute notre énergie est partie en fumée, et on n’aspire plus qu’au repos. Allier une vie active à une vie de maman, c’est véritablement le défi que relèvent les femmes du XXI ème siècle ! Chacune d’entre elles tente de faire de son mieux, et en étant seule à la maison, la tâche se complique considérablement… Une fois de plus le mot d’ordre est le même : ne culpabilisez pas si jamais vous pensez que vous ne consacrez pas suffisamment de temps à vos enfants. Dites vous que la qualité de ce temps est bien plus importante que sa quantité. Si vous ne disposez que d’une heure durant laquelle il faut faire les devoirs, donner le bain et raconter une histoire… faîtes en sorte que cela se fasse dans l’amour et la complicité. Cela vaut largement des journées entières passées en compagnie de ses enfants sans en profiter véritablement.